Des chauves-souris, des singes et des hommes
Les mots de Paule Constant, prix Goncourt, rencontrent le dessin de Barroux dans un conte déchirant, qui n'exclut ni l'humour ni la poésie.
Dans un village africain, une fillette cajole une chauve-souris. De jeunes garçons rapportent fièrement le cadavre d'un singe au dos argenté. Un mal pernicieux se propage silencieusement au pied de la Montagne des nuages, et le long d'une rivière sur laquelle glisseront bientôt les pirogues funèbres.
Dans un village africain, une fillette cajole une chauve-souris. De jeunes garçons rapportent fièrement le cadavre d'un singe au dos argenté. Un mal pernicieux se propage silencieusement au pied de la Montagne des nuages, et le long d'une rivière sur laquelle glisseront bientôt les pirogues funèbres.
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La presse en parle
«Une fable sur l'ignorance et les croyances, qui montre que l'humain n'est que bien peu de choses face à la nature. Une jolie pépite graphique signée Barroux!» (Planetebd.com).
«Un conte terrible et magnifique» (Le Monde des Livres).
«Grâce à un pastel épais et naïf, une composition textuelle audacieuse (...), le dessinateur fait gagner en fluidité et en expressivité ce récit vaudou autour du virus Ebola. La magie, la poésie et la mélancolie de l'histoire de cette malédiction qui, d'un petit village africain, va gagner le monde, ont sans doute ainsi trouvé leur plus bel écrin.» (Page des Libraires).
«Si l'on ne retrouve pas ici la prose envoûtante de la romancière, la force du scénario et celle des dessins de Barroux s'unissent pour une lecture impressionnante, puissante, où s'émouvoir et comprendre ce que l'actualité ne raconte pas.» (Lepoint.fr).
«Brillement illustré par le dessinateur Barroux, ce conte déchirant est également une fable poétique pleine d'humour !» (Afrique Magazine).
«Un conte terrible et magnifique» (Le Monde des Livres).
«Grâce à un pastel épais et naïf, une composition textuelle audacieuse (...), le dessinateur fait gagner en fluidité et en expressivité ce récit vaudou autour du virus Ebola. La magie, la poésie et la mélancolie de l'histoire de cette malédiction qui, d'un petit village africain, va gagner le monde, ont sans doute ainsi trouvé leur plus bel écrin.» (Page des Libraires).
«Si l'on ne retrouve pas ici la prose envoûtante de la romancière, la force du scénario et celle des dessins de Barroux s'unissent pour une lecture impressionnante, puissante, où s'émouvoir et comprendre ce que l'actualité ne raconte pas.» (Lepoint.fr).
«Brillement illustré par le dessinateur Barroux, ce conte déchirant est également une fable poétique pleine d'humour !» (Afrique Magazine).
D'après le roman de Paule Constant